Qui sommes -nous?
Date de création: 10 Juillet 2012
Statuts: Statuts modifiés par AGEx du 10/04/2017 (Article 16)
Autorisation préfectorale: N°W062006133 du 22/05/2012
N° Siret: 82907917700012
Composition du bureau
Président
Patrick JEUNE
Responsable secteur Nice
Michel CERNAY
Responsable secteur Nice
Michel CERNAY
Vice-Président
Michel LAUGIER
Responsable secteur Antibes
Michel LAUGIER
Responsable Volontaires du Service Civique
Jean-François FAYET
Trésorier
Max MORELLO
Responsable secteur Grasse
Patrick JEUNE
Secrétaire
Valérie RAYNAULT
Valérie RAYNAULT
Michel CERNAY
Nos membres
Notre charte de la laïcité
Conscient que les adversaires du principe de Laïcité en donnent des interprétations très différentes, I’OLAM a voulu dans la présente charte, définir de façon rigoureuse ce qu’elle se propose de défendre et de promouvoir.
Ce principe de gouvernance, est défini par la Ioi de séparation des églises et de l’état du 9 décembre 1905 :
ART. 1 - La République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes sous les seules restrictions édictées ci-après dans l’intérêt de l’ordre public.
ART. 2 - La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte. En conséquence, à partir du ler janvier qui suivra la promulgation de la présente loi seront supprimées des budgets de l’État, des départements et des communes, toutes dépenses relatives à l’exercice des cultes...
Ce principe, que les adhérents de I’OLAM estiment universel, écarte tout ce qui peut séparer au bénéfice de ce qui peut réunir pour le bien commun et le vivre ensemble.
Il est porteur d’égalité et de liberté pour tous, croyants ou non croyants pratiquants d’une religion ou non, puisqu’il garantie la liberté de conscience, aussi bien que la liberté de culte, dans la sphère privée.
A ce principe I’OLAM associe :
- Le préambule de la constitution de 1946
- La déclaration universelle des droits de l’homme
- La constitution de la 5eme République.
Enfin, manifestant leur attachement à la loi de 1905, les adhérents de I’OLAM estiment que nul n’est besoin de requalifier le principe de Laïcité, ou la loi qui le définit.